En 1789, les Clermont-Tonnerre soutenus par la totalité des villageois, refusent de quitter Bertangles.
Au plus fort de la Terreur, pour éviter l’arrestation par les révolutionnaires venus d’Amiens, un compromis est trouvé : les têtes des statues de lions donnant sur la forêt sont guillotinées et jetées dans un fossé.
Après Thermidor, les têtes de lions sont tout simplement remises en place.
Les traces de « décapitation » sont laissées apparentes…